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Yaye Seynabou Fall ou le plaisir d’aider les autres

Qu’il s’agisse des associations interculturelles ou des réseaux de solidarité, tout le monde ou presque connaît Yaye Seynabou Fall. Arrivée il y a cinq ans à Strasbourg, la doctorante sénégalaise y est rapidement devenue une figure incontournable, grâce à sa générosité et à son altruisme.

Yaye Seynabou Fall a le sourire enjoué de ceux pour qui donner est naturel. Sa fonction de présidente de l’Association des étudiants et stagiaires sénégalais de Strasbourg (AESSS) ? Sa mission d’Étudiante relais campus (Erca) ? « Pour moi, le volontariat est un don de soi, et même un sacerdoce, répond-elle pour expliquer ses nombreux engagements. Certains me disent "C’est une perte de temps", mais je le fais vraiment avec plaisir. »
Seynabou partage ses moments libres entre l’écoute et l’accompagnement des étudiants en situation de mal-être (Erca), et la mise en place d’ateliers d’aide aux devoirs, l’accompagnement des primo-arrivants dans leurs démarches, l’organisation de conférences et de thés-débats, la mise en place de tournois sportifs ou de jeux de société à la résidence Paul-Appell (AESSS). « Nous avons aussi organisé pour la première fois un repas de Noël cette année, pour tous les étudiants étrangers n’ayant pas pu rentrer chez eux. »
En se gardant toujours du piège du communautarisme : « Certes, aider les membres de notre communauté fait partie de nos missions à l’AESSS, mais la majorité de nos actions sont destinées à tout le monde. » L’ambition est de garder vivantes les traditions sénégalaises auprès de ceux qui ne sont plus en contact avec leur pays d’origine, et de faire connaître au plus grand nombre la culture sénégalaise, à travers notamment l’organisation d’une Semaine culturelle. En d’autres mots, « contribuer au multiculturalisme alsacien ! » De nombreux contacts entre les 600 membres de l’AESSS et les associations gabonaise, ghanéenne, ivoirienne, camerounaise… de Strasbourg ont été noués, pour une synergie des actions et une meilleure représentation des cultures. Signe de la bonne ambiance qui règne dans l’AESSS, « même ceux qui ne sont plus étudiants restent et nous accompagnent ».
Là où certains auraient vu une menace à leur réussite scolaire, Seynabou a brillamment réussi à concilier ses multiples activités. Arrivée de l’Université de Saint-Louis, ancienne capitale du Sénégal, pour poursuivre ses études en linguistique et traduction, elle s’installe à Strasbourg après un détour par l’Autriche. « J’ai étudié l’anglais, le français et l’allemand en master (Linguistique et traduction), et j’ai choisi la capitale alsacienne pour continuer à pratiquer facilement cette dernière langue. »

« Je n’aime pas la léthargie »

« À mon arrivée, en 2011, j’ai d’abord commencé par donner des coups de main au bureau de l’AESSS ». Elle y entame aujourd’hui son deuxième mandat de présidente. Un engagement qui a pris tellement de place dans sa vie qu’elle se sent à l’étroit dans son appartement, entre les jeux de société et le matériel utilisé pour les activités ! « Il nous manque un local qui est aujourd’hui une nécessité pour l’AESSS. »
Pour autant, Seynabou ne perd pas de vue son avenir professionnel. « J’aimerais ouvrir un cabinet de traduction une fois ma thèse soutenue, en 2017. » L’importance accordée à son identité sénégalaise a trouvé un prolongement dans ses études : sa thèse compare « les aspects phonologiques et phonétiques du français et du wolof ». Elle parle aussi couramment la langue vernaculaire de son pays.
« Elle connaît tout et tout le monde parmi les associations de solidarité, du logement d’urgence à la planification familiale », dit d’elle Clémence Huckel. Toutes deux partagent le « titre » d’anciennes parmi les Etudiants relais campus (Erca). C’est donc naturellement que Seynabou, qui reconnaît elle-même « ne pas aimer la léthargie » a accepté de siéger au Conseil des résidents étrangers (CRE) de Strasbourg et au Collectif d’organisations de solidarité internationale issues des migrations-Alsace (Cosim). « J’y représente mon association, parmi 38 organisations de solidarité internationales issues des migrations, ainsi qu’au CRE, une instance de démocratie participative de la Ville de Strasbourg. » Excepté des marques de reconnaissance et de remerciement, de temps en temps, Seynabou n’attend rien en retour. « Ça me suffit comme motivation ! »

Elsa Collobert

Parmi les activités récente de l'AESSS : organisation d'un repas sénégalais au resto U Paul-Appell et exposition d'objets d'art et d'ouvrages de littérature africaine dans le cadre de la Semaine culturelle sénégalaise, en avril ; repas de Noël à la salle polyvalente de la cité U Paul-Appell, en novembre 2015.

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Cordées de la réussite : un dispositif d’excellence salué par Najat Vallaud-Belkacem

Crédits : Frédéric Maigrot pour Strasbourg Eurométropole/Académie de Strasbourg

En visite à Strasbourg jeudi 16 juin, Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, s’est rendue au collège Erasme. L’un de ceux dont l’Université de Strasbourg est partenaire, à travers le déploiement des Cordées de la réussite.

L’autocensure débute très tôt chez les élèves, et est d’autant plus forte dans les milieux modestes. Une frontière invisible existe aussi pour les bacheliers professionnels face à l’entrée dans l’enseignement supérieur. C’est à partir de ces constats qu’ont été lancés les parcours d’excellence, destinés aux collégiens volontaires des Réseaux d’éducation prioritaire renforcés (REP +).
Le collègue Erasme, situé dans le quartier de Hautepierre, en fait partie. Les acteurs du dispositif déployé depuis quelques mois et baptisé Cordées de la réussite, et en premier lieu les collégiens, ont reçu la visite de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, accompagnée de la secrétaire d'État à la Ville, jeudi 16 juin.
L’Université de Strasbourg est partie prenante de ce dispositif visant à relancer l’ascenseur social, à travers sept de ses composantes, et en particulier l’École européenne de chimie, polymères et matériaux (ECPM) et l’Institut d’études politiques (IEP). Concrètement, les étudiants de l'Unistra offrent de leur temps à travers tutorats et ateliers (organisation du travail, motivation, confiance en soi, compétences transversales), aide à l'orientation (immersion professionnelle, conseils, rencontres) et actions culturelles (sorties, événements, projets scientifiques), pour mettre le pied à l'étrier aux collégiens et lycéens d'une quinzaine d'établissements de l'Eurométropole.

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S’étonner pour mieux apprendre

Crédit : Mercedes Baugnies

Revisiter le rôle du professeur, favoriser l’interaction au sein de la classe ou encore rendre l’élève acteur de son propre savoir. Telles sont les propositions portées par la pédagogie de l’étonnement, que l'on doit à Louis Legrand, auquel l'université consacrait un symposium-hommage. Une méthode d’enseignement grâce à laquelle la doctorante Mercedes Baugnies relève le pari qu’il est possible pour un élève d’apprendre en enseignant.

Mercedes Baugnies est doctorante rattachée au Laboratoire interuniversitaire des sciences de l’éducation (Lisec). Ses travaux de recherche portent sur la pédagogie de l’étonnement, développée par le pédagogue Louis Legrand (1921-2015) à partir des années 1960. « Cette méthode s’abstient de toute position hiérarchique du professeur ou de compétitivité entre élèves. Autant de facteurs qui creusent les écarts de comportements et donc de réussite scolaire », précise la doctorante, elle-même professeure d’anglais et de néerlandais dans la région transfrontalière franco-belge de Valenciennes. « Il s’agit, à travers le cursus d’apprentissage, de laisser davantage de place à la disposition naturelle qu’ont les enfants à s’étonner de leurs propres découvertes et succès. »
Pour accompagner et encourager cette aptitude, il s’agit pour le professeur d’orienter les activités scolaires à travers des projets individuels ou de groupe gérés par les élèves. Ouvert aux questions de ces derniers, il devient la personne ressource vers qui chacun peut se tourner dans la réalisation de ses objectifs. À travers son étude, Mercedes Baugnies est passée de la théorie à la pratique par des mises en situation originales menées au sein même des établissements primaires et secondaires dans lesquels elle enseigne.

Apprendre en enseignant

« L’axe principal de ma thèse est de vérifier l’hypothèse que les élèves peuvent aussi apprendre en enseignant », explique la chercheuse et enseignante. C’est ainsi que des élèves d’écoles primaires et de collèges ont eu carte blanche pour transmettre à des sections inférieures et de manière ludique le vocabulaire essentiel à l’apprentissage d’une langue (les couleurs, les objets, les loisirs, etc.). En l’occurrence, des élèves de CM2 initiant des petits de maternelles à la langue de Vondel, puis des collégiens de 3e initiant des classes CE2 à celle de Shakespeare.
« Les CM2 se sont aidés de courtes fiches pédagogiques, ainsi que d’une mascotte en peluche, Polo le lapin, comme vecteur d’apprentissage. Les 3es, quant à eux, étaient libres d’imaginer toutes sortes de supports, détaille Mercedes Baugnies. Quel que soit le niveau, j’ai découvert de vrais pédagogues, capables de mutualiser leurs savoirs et leurs savoir-faire, souligne-t-elle. Les plus grands allant jusqu’à mettre au point de véritables jeux de société adaptés à l’apprentissage visuel, auditif et kinesthésique. »

Une pédagogie alternative et complémentaire

L’expérimentation pratique a révélé la mise en œuvre par les élèves de démarches pédagogiques individuelles, mutuelles et différenciées : « Les tuteurs ont été attentifs à maintenir un niveau d’apprentissage équivalent lors des sessions, certains épaulant spécifiquement un élève en difficulté pour le réintégrer au plus vite dans l’activité d’un groupe », remarque la chercheuse. Tout en s’initiant à la réalité du plus beau métier du monde, les apprentis professeurs, confortés dans leurs aptitudes à l’enseignement, se sont surtout sentis « responsabilisés et valorisés par leurs actions de tutorat », analyse Mercedes Baugnies.
Cette approche pédagogique reste par ailleurs compatible avec les programmes d’enseignement actuellement en vigueur, comme le confirme la doctorante et enseignante : « À travers ces ateliers, tous les élèves, enseignants comme initiés, ont pu consolider leurs connaissances. Ils sont même parvenus à anticiper et dépasser le programme de l’année. »

Guillaume Thépot

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La Bibliothèque nationale et universitaire inaugurée en présence de la ministre de l'Enseignement supérieur

Crédit : Jean-Pierre Rosenkranz

La Bibliothèque nationale et universitaire, établissement associé à l'Unistra à travers le contrat de site, a été officiellement inaugurée vendredi 24 juin, en présence de sa ministre de tutelle, Najat Vallaud-Belkacem.

Après le collège Erasme de Hautepierre et la Faculté de médecine, la semaine précédente, Najat Vallaud-Belkacem était de nouveau présente à Strasbourg, vendredi 24 juin. Cette fois-ci pour l'inauguration de la BNU, dont les travaux de rénovation ont duré jusqu'en 2014, livrant notamment un dôme stupéfiant.
« Le travail est entamé pour unifier le potentiel documentaire du site alsacien, afin de construire une bibliothèque d'excellence », a déclaré Alain Beretz, présent lors de cette cérémonie.

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Mouture 2016 du référentiel en santé et sécurité au travail

Les responsables des structures des universités de Strasbourg, de Haute-Alsace, de la délégation Alsace du CNRS et de la délégation Grand-Est de l’Inserm ont été informés par courrier de la récente mise à jour du livre des prescriptions communes en santé et sécurité au travail.

« Si le référentiel en santé et sécurité au travail est un guide destiné en premier lieu aux 188 responsables de structures (services, composantes, unités de recherche), in fine c’est la santé et la sécurité de tous les personnels et étudiants qui est concernée », explique Claude Geist, conseiller de prévention de l’Unistra.
Élaboré en 2013, le livre des prescriptions vient d’être mis à jour, pour intégrer aussi bien les évolutions règlementaires que les nouveaux outils élaborés par les établissements parties-prenantes dans les différents domaines de la sécurité.  « 66 pages, cela peut paraître beaucoup, mais c’est un document très synthétique au vu de la multiplicité des thèmes traités, qui constitue un véritable outil d’homogénéisation des pratiques pour les quatre établissements parties-prenantes*. On s’y réfère aussi bien pour la prévention des risques chimiques, des risques liés à l’expérimentation animale ou pour le travail sur écran. » Son design a été modernisé pour le rendre plus attractif, de même que le questionnaire consacré à la mise en œuvre des prescriptions l’accompagnant. Auparavant sous forme de fichier Excel, il est désormais à renseigner en ligne, avant mercredi 13 juillet.
« Cette démarche d’auto-évaluation permet à chaque responsable d’obtenir une vision globale de l’état de sécurité de sa structure, et donc d’identifier les axes de progrès. » Ceci dans le but de conduire une démarche d’amélioration continue. L’une des priorités, insiste Claude Geist, est que chaque structure se dote d’un assistant de prévention, dédié ou mutualisé en fonction de la taille de la structure concernée, afin d’impulser la démarche d’évaluation des risques professionnels. La formalisation de cette démarche consiste à transcrire les résultats de l’évaluation dans le document unique et à faire vivre le plan d’actions de prévention afférent.
Le guide se structure autour de deux axes (organisation de la sécurité/prévention des risques dans la structure). La synthèse établie grâce aux réponses du questionnaire servira lors de la prochaine visite des inspecteurs santé et sécurité au travail du ministère en octobre prochain.

* Université de Strasbourg, Université de Haute-Alsace, CNRS, Inserm.

  • Pour toute question, contacter Claude Geist, conseiller de prévention Unistra ou Isabelle Burzala, ingénieur hygiène et sécurité
  • Le livre des prescriptions en santé et sécurité au travail est disponible sur l’ENT : Vie de l'université - Fonctionnement/Services/Projets - Services centraux - Domaine de gestion des ressources - Service prévention, sécurité et environnement (SPSE) - Procédures et consignes

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Vis ma journée d’entrepreneur

Ce printemps, 25 étudiants de l’Université de Strasbourg ont découvert le quotidien d’un chef d’entreprise auprès de 25 dirigeants bas-rhinois du réseau Entreprendre Alsace.

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Cette opération a été co-organisée par le pôle de l’entrepreneuriat étudiant de l’Université de Strasbourg, Pepite Etena, l’École de management de Strasbourg et le réseau Entreprendre Alsace. Pendant une journée, 25 étudiants en binôme avec 25 dirigeants bas-rhinois ont vécu la « vraie vie » d’un entrepreneur.
Ils ont participé aux réunions, réflexions et déplacements sur le terrain du chef d’entreprise. Les objectifs recherchés pour les étudiants étaient de mettre à l’épreuve de la réalité leur projet personnel de création ou de reprise d’entreprise et d’échanger sur le sujet avec un chef d’entreprise expérimenté. La caméra a suivi une étudiante en droit immergée dans une entreprise de restauration. L’opération « Vis ma journée d’entrepreneur » a remporté un franc succès et sera reconduite en 2017.

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Eucor – Le Campus européen progresse dans le domaine de l’insertion professionnelle

Lundi 20 juin, les acteurs de l’insertion professionnelle des universités membres d'Eucor – Le Campus européen se sont rencontrés. L’objectif était de développer des projets communs d'aide à l’insertion professionnelle dans le Rhin supérieur.

Au quotidien, les participants travaillent dans leur université à renforcer l’insertion professionnelle des lycéens, étudiants, diplômés et jeunes chercheurs. Ils les conseillent et les accompagnent dans la construction de leur projet professionnel.
Lors de cette rencontre tri-nationale, un des principaux défis a été de comprendre les différences de fonctionnement et de priorités en termes d'insertion professionnelle dans chaque établissement. Les participants ont donc commencé par présenter leur service, leur organisation et les projets qu'ils développent. 
L'après-midi, en groupes de travail, les participants ont réfléchi aux types d'actions à développer en commun. Suite aux échanges, il a été décidé qu'en novembre 2016, une première manifestation sera proposée aux étudiants des cursus bi- et trinationaux ou qui ont déjà effectué une mobilité Erasmus ou Eucor – Le Campus européen. Cette action, qui sera enrichie chaque année, permettra aux étudiants de rencontrer des entreprises, de bénéficier de retours d'expérience de diplômés et de participer à des ateliers de préparation à la candidature dans un contexte bi- ou tri-national.
Cette journée a eu lieu dans le cadre du projet Interreg « Eucor – Le Campus européen : structures transfrontalières ».

* Ce projet bénéficie du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir

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Un nouveau doyen pour la Faculté des sciences sociales

Jean-Daniel Boyer, le nouveau doyen de la Faculté des sciences sociales, a été élu à l’unanimité lors du conseil de faculté du jeudi 19 mai.

Titulaire de l’agrégation de sciences économiques et sociales (2001) et d’une thèse en sciences économiques soutenue en 2006 à l’Université Louis-Pasteur, Jean-Daniel Boyer enseigne l’économie et la sociologie. Ancien responsable de la préparation au Capes de sciences économiques et sociales, il est actuellement responsable de la licence Sciences sociales parcours renforcé*.
Ses recherches portent sur l’histoire de la pensée économique au 18e siècle et plus précisément sur la construction, dans leurs interactions et leurs oppositions, des systèmes théoriques élaborés en France et en Grande-Bretagne après 1750.

* Projet Idex formation

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Cinq étudiants de la Faculté de droit lauréats du Concours d’arbitrage international

Trois membres de l'équipe gagnante : Alexandre Delphis, le professeur Caroline Kleiner, Juliette Sulli et Metehan Motugan (absents : Selma Kheiri et Mathieu Manent).

Cinq étudiants de master 1 et 2 ont remporté le 11e Concours d’arbitrage international de Paris, organisé le 1er juin à l’École de droit de SciencesPo Paris, devant un jury composé de personnalités du monde de l’entreprise et de l’arbitrage.

Alexandre Delphis (master 2 Droit international), Juliette Sulli (master 2 Droit comparé), Metehan Motugan (master 1 Droit), Mathieu Manent (master 1 Droit) et Selma Kheiri (master 2 Droit international public) sont les lauréats de la 11e édition du Concours d’arbitrage international de Paris. L'équipe strasbourgeoise, suivie et entraînée par Marjolaine Abada-Fasquelle (ancienne étudiante du master 2 Droit international public), Sâmi Hazoug (docteur en droit de l'Université de Strasbourg, maître de conférences à l'Université de Franche-Comté) et Caroline Kleiner (professeur à l'Université de Strasbourg), a rencontré les universités de Paris I et Aix-Marseille en demi-finale, puis a affronté l'Université de Buenos Aires en finale.
Ce concours de renommée mondiale a été organisé par l’École de droit de SciencesPo Paris le 1er juin dernier, en partenariat avec les cabinets d'avocats d'affaires Clifford Chance et Bredin Prat, la Cour internationale d’arbitrage de la Chambre de commerce internationale (ICC), les groupes Total et Carrefour, et les éditions Lamy/Wolters Kluwer.
Les lauréats ont reçu 8 000 € et des ouvrages des éditions Lamy/Wolkers Kluwer. Les candidats titulaires (Alexandre Delphis et Juliette Sulli) bénéficieront en plus d’un stage de six mois dans l’un des cabinets partenaires.

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Formation des personnels : des places disponibles en septembre

Le Bureau de la formation continue des personnels informe qu'il reste des places pour plusieurs sessions de formation en septembre.

Plusieurs places sont encore disponibles pour les formations suivantes :

- « Communiquer via les réseaux sociaux (métiers de la communication) » (26 et 27 septembre matins, page 87 du catalogue 2016) ;
- « Prise en main d'Excel 2010 » (13 septembre matin, page 202) ;
- « Word 2010 : Initiation » (22-23 et 29-30 septembre, page 209) ;
- « Word 2010 Avancé : Publipostage - Suivi des modifications » (26 septembre, page 212) ;
- « Sosie » (15 septembre matin, page 229) ;
- «  Harpège - Mode saisie » (8-9-12 septembre et 13 septembre matin, page 230) ;
- « ADE - Niveau 1 » (22-23 septembre matins et 27-29 septembre après-midis, page 242) ;
- « Les postures et les outils de la réussite de l'accompagnement des équipes d'aujourd'hui, leadership, management et coaching » (nouveauté 2016, 29-30 septembre et 9 décembre, page 180) ;
- « Formation continue des assistants prévention des structures hébergées par l'université » (27 septembre matin, page 251) ;
- « Sauveteur secouriste du travail - Formation initiale », à Illkirch (19-20 septembre, page 257).

Les fiches d'inscription sont à réceptionner par le Bureau de la formation avant jeudi 30 juin au plus tard, dûment munies de l'avis hiérarchique.

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VAE : la campagne du deuxième semestre 2016 se poursuit

La campagne Validation des acquis de l'expérience (VAE) pour le deuxième semestre 2016 se poursuit jusq'au 12 octobre.

Les dossiers de demande de financement du coût de l'accompagnement VAE sont à déposer au plus tard le mercredi 12 octobre 2016 auprès du Bureau de la formation continue (consulter la circulaire d'information).

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Délais rallongés pour la remontée des entretiens professionnels 2015-2016

Des délais supplémentaires ont été accordés pour la remontée des entretiens professionnels 2015-2016, suite à une modification du calendrier transmis par le rectorat.

Attachés d'administration, secrétaires d'administration, personnels médicaux, sociaux et de santé : pour ces corps, la date de retour des entretiens professionnels est fixée au jeudi 30 juin 2016.
Toutefois, une transmission rapide des comptes rendus d'entretiens, sans attendre ces nouvelles dates limites, permet à la Direction des ressources humaines (DRH) de gérer au mieux cette campagne.

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La transformation digitale au menu des Terrasses du numérique

Inscrite dans la loi de l’enseignement supérieur et de la recherche de 2013, la transformation numérique est une réalité quotidienne à l’université. Les Terrasses du numériques déclinent cette année conférences, ateliers et rencontres autour de cette culture numérique aussi protéiforme qu’incontournable. Connexion le vendredi 1er juillet.

Circulation du savoir, temps professionnel et de l'apprentissage, spacialité : le processus de mutation numérique dans lequel est engagée l’université reconfigure son rapport à toutes ces dimensions. Le numérique s’y banalise et s’y singularise tout à la fois.
À l’invitation de Jean-Yves Pabst, les utilisateurs et acteurs du numériques que nous sommes tous sont invités à explorer les arcanes des méthodes numériques d’enseignement, de la maîtrise de ses données personnelles, des outils comme Moodle, la Gestion électronique des documents ou Compilatio, guidés par des spécialistes-maison (DUN, CCN…), mais aussi extérieurs, comme Franck Queyraud, responsable médiation numérique aux médiathèques de l’Eurométopole.
Rendez-vous vendredi 1er juillet, de 9 h à 17 h, au Centre de culture numérique.

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Les inscriptions pour le voyage court à Milan sont ouvertes

Après les formules week-end à Amsterdam, le Service pour la promotion de l'action sociale propose un voyage de trois jours pour l'Italie. Direction Milan, du vendredi 23 au dimanche 25 septembre.

Le circuit comprend le trajet en autocar depuis Strasbourg, la visite de la capitale de la Lombardie en autocar, la visite du centre historique avec un guide francophone, l'hébergement en hôtel trois étoiles, une Milano card valide 48 h, ainsi qu'une assurance annulation, bagages et assistance rapatriement.
Le séjour, qui compte 17 places, est réservé en priorité au personnel universitaire (ouvrant et ayant droit), CNRS, UHA et de l'ENSIIE. Les tarifs sont de 406 € en chambre individuelle, 361 € en chambre double (tarif avant subventionnement). Réservation avant le 9 septembre 2016 uniquement sur rendez-vous (par téléphone au 03 68 85 20 00).

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Le pique-nique du Service relations Alumni reporté

Le lieu de l'événement, le Jardin de l'Observatoire, restera le même.

Initialement programmé vendredi 24 juin, le pique-nique alumni participatif et musical est reporté au vendredi 9 septembre.

En raison de la météo incertaine de ces prochains jours, le Service relations Alumni a préféré reporter son pique-nique à la rentrée. La visite guidée du Jardin botanique qui devait se dérouler à 17 h 30 est également reportée. Tous ces événements sont reportés, selon les mêmes modalités, au vendredi 9 septembre.