Université, composantes et services
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« Une auto-évaluation des formations simplifiée pour une offre homogénéisée »

La phase d’auto-évaluation interne de l’offre de formation 2013-2018 touche à sa fin. Prochaine étape : l’examen par le Haut conseil d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES). Étienne Guidat, épaulé par Kathalyne Bertrand et Laurence Oberlé, nous en dit plus sur ce processus.

À quel stade en est l’Unistra de son processus d’auto-évaluation ?
Etienne Guidat : Avec l’équipe dédiée de la Direction des études et de la scolarité*, nous centralisons actuellement les dossiers d’évaluation de toutes les mentions, qui devaient nous parvenir pour le 13 juin.
Laurence Oberlé : Entre janvier et février, nous avons fait le tour des composantes pour sensibiliser les responsables pédagogiques et leurs équipes à la démarche.
E. G. : Prochaine étape : l’expertise des dossiers par la DES d’une part, et par les enseignants et les enseignants-chercheurs de l’université, selon le principe de l’évaluation par les pairs, d’autre part. Le but n’est pas d’anticiper l’expertise du HCERES, seulement de s’assurer que les dossiers sont complets et permettront à leurs experts de mener leur évaluation dans de bonnes conditions. Les dossiers seront ensuite remis au HCERES au plus tard le 13 octobre, qui rendra ses conclusions entre mars et mai 2017.

Cela représente combien de mentions de diplômes ?
E. G. : 140 licences, licences professionnelles et masters confondus sont concernés par cette vague d’évaluation, la troisième depuis 2005. L’Unistra fait partie des premiers établissements à intégrer les formations donnant accès au grade de licence et master. Les doctorats, ainsi que la recherche, sont également audités, mais par une autre voie.

Quelle marge de manœuvre en cas d’identification de points faibles ?
E. G. : Cette nouvelle vague d’évaluation introduit une nouveauté, à savoir que le dossier d’auto-évaluation et le projet d’offre de formation ne sont plus rendus ensemble. Le délai entre le retour de l’évaluation externe et le dépôt du projet sera court. Des ajustements de notre offre de formation 2018-2022 seront possibles, mais c’est la démarche actuelle d’auto-évaluation qui devrait déjà permettre de dégager des pistes d’amélioration.

Quel est l’objectif poursuivi ?
E. G. : L’évaluation telle que la mène le HCERES suit les recommandations du réseau européen pour l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur (ENQA). C’est un des outils de reconnaissance des diplômes entre les pays de l’Espace européen de l’enseignement supérieur mis en place par le processus de Bologne : s’évaluer selon des règles communes. L’évaluation du HCERES constitue aussi une première étape pour obtenir l’accréditation des formations par l’État. Il est à noter que ses conclusions seront publiques. Enfin, en dehors de ces contextes internationaux et nationaux, c’est avant tout une occasion pour l’Unistra de remettre périodiquement en question son offre de formation et d’essayer de l’améliorer.

Sur quels critères se repose l’évaluation ?
E. G. : Quinze catégories sont listées : objectifs de la formation, organisation, professionnalisation (beaucoup des données sont issues des enquêtes de l’Oresipe), internationalisation, stages, place du numérique dans l’enseignement... Parmi celles-ci, l’évaluation par les étudiants, bien que considérable à mettre en place, ne représente qu’un point parmi d’autres.

La culture de l’évaluation progresse-t-elle parmi la communauté universitaire ?
E. G. : Clairement, oui. Ainsi, certains arguments sont repris au moment des refontes de maquettes. Certaines composantes se sont vraiment saisies du dispositif. Le but étant de ne pas tout peindre en rose, mais de répondre de façon honnête afin d’identifier là où nous pouvons faire mieux.
Kathalyne Bertrand : Elle progresse d’autant plus que les documents d’auto-évaluation ont été simplifiés.

À votre avis, que va-t-il ressortir de l’avis émis par le HCERES ?
E. G. : Nous savons déjà que parmi les points à améliorer figurent le suivi de l’acquisition des compétences et la délivrance du supplément au diplôme (prévu depuis Bologne), une annexe au diplôme papier décrivant de façon uniformisée les objectifs et contenus du diplôme.

Il y a toutefois des progrès depuis 2009…
E. G. : Oui, dans le sens où le HCERES avait alors qualifié notre offre de formation de « riche et foisonnante ». Depuis, des progrès ont été faits, mais beaucoup reste à faire. Une des orientations du Schéma directeur de l’offre de formation 2018 étant de proposer une offre cohérente, lisible, pilotée et soutenable.

Recueilli par Elsa Collobert

  • L’équipe de la DES en charge de l’évaluation HCERES peut être contactée par courriel pour toute question

* Kathalyne Bertrand, Laurence Oberlé, Anita Zaegel et Isabelle Reutenauer

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L’Institut du travail fête ses 60 ans !

L’Institut du travail est une composante atypique, dont la mission est de former des syndicalistes au droit et à l‘économie du travail.  À l’occasion de son 60e anniversaire, il organise un colloque qui pose une question d’une actualité brûlante : « Où va le travail ? »*. Tour d’horizon avec Michèle Forté, directrice de l’institut depuis 2012.

L’Institut du travail, c’est une structure plutôt originale ?
C’est certain ! L’Institut du travail a été créé en 1955 (et a commencé son activité en 1956) à l’initiative de Marcel David, professeur de droit, avec le soutien des organisations syndicales. C’était vraiment une structure totalement originale à l’époque, dont l’objectif était de faire un lien entre l’université et le monde du travail. L’idée a essaimé puisqu’il existe aujourd’hui dix instituts du travail en France, dont deux à rayonnement national (Strasbourg et Paris), organisés en réseau et placés sous la double tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur et du ministère du Travail. La CGT, FO et la CFDT sont parties prenantes et très impliquées dans son fonctionnement.

Vos étudiants sont donc tous des syndicalistes ?
Oui, on parle d’ailleurs de stagiaires. Nous en accueillons environ 500 par an. Il s’agit de militants et de responsables syndicaux, qui se forment auprès de nous au droit et à l’économie du travail. Nous sommes une équipe de dix enseignants-chercheurs, sept juristes spécialisés dans le droit du travail et trois économistes. Nous enseignons également dans d’autres composantes de l’université, comme par exemple la Faculté de droit ou la Faculté des sciences économiques et de gestion et sommes rattachés à différents laboratoires de droit ou d’économie. L’équipe est complétée par six personnels administratifs, un ingénieur d’études et un assistant de recherche. Les sessions de formations sont co-animées avec des responsables syndicaux qui donnent notamment la position syndicale sur tel ou tel point. Elles sont aussi construites sur mesure, selon la demande des organisations syndicales.

Quel est votre projet stratégique pour l’institut, comme directrice ?
Mon objectif est de consolider l’institut lui-même dans le paysage universitaire et syndical, et de renforcer ses liens avec d’autres composantes, mais aussi avec le monde socio-économique, puisqu’il se trouve à l’interface. C’est pourquoi nous avons signé en 2005 deux conventions avec la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation du travail et de l’emploi par lesquelles nous nous engageons à contribuer au dialogue social territorial. Cela se concrétise par l’organisation de rencontres-échanges, la production d’une lettre d’information, l’animation d’un site de veille sur les questions d’économie et de droit social.

Vous organisez un colloque les 4 et 5 juillet prochains qui pose une question d’actualité : « Où va le travail ? ». Une forme de réponse au débat soulevé par la nouvelle loi travail ?
Nous avons choisi cette thématique en 2015, bien avant le débat autour de la loi travail, mais il est vrai que les circonstances actuelles placent les échanges du colloque au cœur de l’actualité. C’est peut-être plus simplement parce que le travail est dans une mutation profonde qui questionne la société de manière aiguë en ce moment. Destiné en priorité aux militants syndicaux, membres des instituts du travail, aux DRH, médecins du travail ou institutionnels le colloque est, de fait, ouvert à tous ceux que ces thématiques intéressent à l’université et ailleurs.

Recueilli par Caroline Laplane

* Avec le soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir

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Prix de thèse et cérémonie des docteurs

Biotechnologie, archéologie, informatique littérature, droit... Vendredi 24 juin, 21 doctorants de disciplines diverses se sont vus remettre des prix saluant la qualité de leur travail de recherche. La cérémonie, ponctuée par des intermèdes musicaux assurés par le groupe New Balkan Express (photo), s'est poursuivie l'après-midi par la remise de leur diplôme aux présents parmi les 448 docteurs de l'université diplômés en 2015.

Plus de photos dans le prochain numéro de L'Actu à paraître le 8 juillet

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Travaux en cours au Le Bel, en vue pour la Tour de chimie

La phase actuelle des travaux de l'Institut Le Bel consiste notamment dans la restauration de laboratoires et de la toiture.

Une réunion a récemment été organisée pour informer et consulter les usagers des deux bâtiments sur le calendrier et le déroulement des opérations de réfection. Avant la Tour de chimie, l’Institut Le Bel est actuellement concerné.

La rénovation de la partie sud de l’Institut Le Bel, comprise entre le quatrième et le neuvième étages, touchera bientôt à sa fin. Les travaux se sont étalés sur deux périodes : 2011-2014, puis cette année universitaire 2015-2016. Une seconde phase durant laquelle la toiture a également été remise à neuf.
« L’emménagement des équipes devrait être possible dans la seconde quinzaine de novembre », précise Daniel Litt, de la Direction du patrimoine immobilier (DPI). Entre autres opérations restantes : le désamiantage des locaux et le transfert de salles de cours du deuxième étage au rez-de-chaussée.
Le premier étage, côté nord cette fois-ci, vient aussi d’être concerné par une opération de remplacement des installations électriques.
Derrière la rénovation et la sécurisation des laboratoires de chimie, bureaux et salles de cours, se trouve l’ambition de libérer la Tour de chimie de toute occupation à risque. C’est donc logiquement que les travaux prévisionnels concernant cette dernière ont été évoqués. Le gros des opérations consistera à séparer la tour du reste du bâtiment. « Nous en sommes à la phase d’études de maîtrise d’œuvre, a détaillé Alexia Martin (DPI). Les échanges avec le cabinet d’architectes s’affinent au fur et à mesure que se précisent les besoins et impératifs des usagers. » Cette phase de consultation est prévue pour durer jusqu’en décembre 2016, avec un début des travaux (estimés à douze mois) en avril 2017.
Autres travaux importants qui se profilent : la rénovation des amphithéâtres de la Faculté de chimie, avec mise aux normes de sécurité et d’accessibilité. La maîtrise d’œuvre devrait débuter à la rentrée, « mais ces travaux pourraient être repoussés pour ne pas créer une gêne trop importante due au cumul de deux interventions », tient à préciser Christophe Jeandon, référent travaux de la faculté.
Ces opérations, d’un montant total de 12 millions d’euros, sont financées pour moitié par le Contrat de plan État-Région, l’Unistra (sur fonds propres pour les blocs amphi) et l’Opération campus.

E .C.

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Maisons des ados : 600 participants et des invités prestigieux aux journées nationales

Un large public est venu assister aux interventions des spécialistes, parmi lesquels le psychiatre Serge Hefez.

Facultés de médecine et de psychologie ont été les fers de lance de l’organisation des 8es Journées nationales des Maisons des adolescents. Cet événement, placé sous le patronage du président de la République, s’est déroulé à la Faculté de médecine de Strasbourg les 16 et 17 juin.

Les deux jours de conférences et de tables-rondes déclinées autour du sujet-phare « Grandir » (à l’école, dans la société, dans la famille, dans l’intime) ont été marqués par l’intervention de spécialistes prestigieux – le psychiatre Serge Hefez, l’anthropologue David Le Breton – et la venue de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Najat Vallaud-Belkacem a apposé sa signature à la première convention liant le ministère au réseau national des Maisons des adolescents (MDA). Un document attendu de longue date, qui permettra sans nul doute de donner davantage de visibilité à cette structure aux nombreuses ramifications locales, mise en place en 2010 à Strasbourg.
« L’Université de Strasbourg est partie prenante depuis le début, à travers un Groupement d’intérêt public (GIP) mis en place à cette fin, explique Christian Kelche, doyen de la Faculté de psychologie. Ceci s’est fait principalement à travers la Faculté de psychologie et les facultés de médecine et de sciences sociales, dont quelques membres siègent aux conseils scientifique et administratif de la MDA. Au sein de la MDA, certains professionnels issus de ces facultés assurent des consultations ; plusieurs étudiants en master de psychologie et de la Faculté de médecine peuvent en outre y réaliser des stages. »
Pour répondre aux problématiques d’échec scolaire, de difficultés relationnelles, de comportements addictifs ou encore de radicalisation qui sont à l’origine des consultations, « toutes nos disciplines sont mobilisées, de la prise en charge au social et médico-social jusqu’à la pédopsychiatrie ». C’est donc logiquement que le public de ces Journées nationales des Maisons des adolescents rassemblait des professionnels de toute cette chaîne d’intervention. Près de 600 personnes, au plus fort des débats. Un franc-succès, dont se félicite Christian Kelche.

E. C.

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La bibliothèque Blaise-Pascal fermée cet été pour préparer sa métamorphose

Dans le cadre du projet Studium qui ouvrira en 2019, les bibliothécaires ont besoin de la période estivale pour préparer les collections en vue de la démolition du bâtiment en 2017. La bibliothèque Blaise-Pascal sera donc fermée du 4 juillet au 28 août.

Pour consulter ou emprunter des documents en sciences, les lecteurs sont invités à faire une demande de prêt en ligne sur le catalogue puis à les retirer à la bibliothèque de la Maison interuniversitaire des sciences de l'homme-Alsace (catalogue, horaires et coordonnées en ligne).
Le service de Prêt entre bibliothèques (PEB) reste accessible sur rendez-vous (contact par courriel).
En cas de questions, les bibliothécaires sont disponibles pour répondre aux questions par courriel jusqu’au 15 juillet et à partir du 16 août.
Le Studium est un grand projet Opération campus de l’université. Il hébergera une bibliothèque multidisciplinaire nouvelle génération, ainsi que tous les services dédiés à l’étudiant.

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Logoscope : la linguistique au service des sciences humaines et sociales

Le laboratoire Linguistique, langues, parole (Lilpa) de l’Université de Strasbourg s’est lancé, en 2012, dans la création d’un outil d’observation linguistique semi-automatisé qui scrute les sites internet de la presse francophone à la recherche de néologismes : le Logoscope. Quid de ce projet à dimension pluridisciplinaire1 ?

 « Administeresse », « caïdisation », « nadalesque », etc. Si ces mots n’existent pas dans le dictionnaire – en tout cas pas encore ! – ils sont bien présents dans le Logoscope, l’outil d’observation linguistique créé par le laboratoire Lilpa. Rappelons qu’un néologisme est une « expression ou mot nouveau, soit créé de toutes pièces, soit plus couramment formé par un procédé morphologique (dérivation, composition, analogie) » selon le Centre national de ressources textuelles et lexicales.
Avec le Logoscope, « nous ne nous intéressons pas seulement au mot en lui-même, on le lie à son contexte et à sa chronologie », explique Christophe Gérard, un des responsables du projet2. Par exemple, pour « anti-charlie » ou encore « uberisation », le Logoscope nous donne le nombre d’occurrences du mot par mois entre octobre 2014 et décembre 20153 et nous renseigne ainsi sur « la durée de l’événement et sa présence dans l’histoire telle que le reflète la presse française ».

Néologismes publics

L’outil récupère chaque jour les textes en accès libre sur les sites web de Libération, Le Monde, Les Échos, La Croix, L’Équipe et Le Figaro. « Les néologismes collectés sont ainsi ce qu’on pourrait appeler des néologismes publics, soit tous ceux que les médias portent à la connaissance d’un public de masse », précise Christophe Gérard. Ces mots nouveaux sont ensuite traités et triés par l’équipe du projet, avant d’être intégrés au Logoscope.
« Nous avons souhaité produire une ressource dynamique – enrichie continuellement – propre à servir de fonds empirique à différentes communautés des sciences humaines et sociales, ainsi qu’aux professions où le langage tient une place importante ou dominante », explique Christophe Gérard. Les néologismes servant à désigner de nouvelles réalités matérielles, mais aussi conceptuelles, il n'est pas rare qu’ils indiquent un changement des connaissances et des représentations collectives, que celles-ci soient d'ordre sociétal (jeunisme, discrimination positive), politique (noniste, Françafrique, lepénisation des esprits) ou encore économique (re-localisation, flexisécurité, Brexit). « Les nouvelles dénominations des régions ne vont pas tarder à être intégrées dans la base, par exemple, ce qui fait du Logoscope un témoin d’un événement politique ! Nous sommes curieux de voir comment se comportent les grands médias face aux « Hauts-de-France », une dénomination censée remplacer le provisoire Nord - Pas-de-Calais - Picardie. »
Les membres de l’équipe cherchent donc à pérenniser ce projet, en envisageant de nouveaux partenariats, pour que le Logoscope soit, au quotidien, « le reflet de l’évolution de la langue ».

Floriane Andrey

1 Financé par l’Initiative d’excellence 2012-2015 et par la Délégation générale à la langue française et aux langues de France

2 Avec Delphine Bernhard, spécialiste en traitement automatique de la langue. Les autres membres de l’équipe sont : Ann-Lise Rosio, Ingrid Falk et Lauren Bruneau.

3 La base est enrichie en continu ; l’équipe trie actuellement les mots de janvier et février 2016.

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Langues, visioconférences et joutes oratoires en économie

L’Idem-Lab (pour International debate in economics and management) de la Faculté de sciences économique et de gestion, inauguré le 3 juin, a été conçu comme une plate-forme pédagogique complète et innovante.

Imaginez : dans une grande salle, un groupe d’étudiants résout des calculs de taux de taxation à l’aide d’un grand tableau blanc. À l’autre bout de la pièce, un enseignant déroule une explication au sujet de la flexibilisation du marché du travail, s'appuyant sur un vidéoprojecteur lui permettant de contrôler à distance son ordinateur. Cette configuration est l’une des nombreuses déclinables pour l’Idem-Lab.
Cet équipement nouvelle génération, financé par l’Initiative d’excellence, est conçu comme une salle de classe modulable en fonction des besoins, du fait notamment que la totalité de son mobilier est sur roulettes.
Surtout, l’une de ses principales innovations réside dans le système de visioconférence interactive qui, à terme, sera utilisé par les étudiants pour des joutes oratoires, en anglais, (« debating », dans la langue de Shakespeare) avec leurs pairs d’universités partenaires françaises, allemandes et anglaises.
« L’idée de départ est que nos étudiants, comme c’est souvent le cas en France, ont davantage une culture de l’écrit que de l’oral, explique Leslie Faucheux, porteuse du projet aux côté du doyen Thierry Burger-Helmchen. La Fseg a donc rejoint la French debating association, et une réflexion est en cours pour monter un groupe dédié aux joutes oratoires dans le domaine des sciences économiques et de gestion, aux côté de l’École nationale d’administration (ENA) et de l’Université de Haute-Alsace. » L’idée serait aussi d’intégrer l’allemand et le français parmi les langues des débats. Pour l’heure, les enseignants de la faculté sont formés à l’utilisation de l’Idem-Lab, pour une prise en mains par les étudiants à partir de la rentrée.

E. C.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2016

 Juin Juillet
Conseil académique
14 h - Mardi
 /  /
Congrès
14 h 30 - Mardi
 / /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 / /
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU (ex-Cévu)
14 h - Mardi
 / /
Commission de la recherche - CR (ex-CS)
14 h 30 - Mercredi
 / /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 28 /
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 / 1er
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 4
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
8 h 30 - Jeudi
 / /
Comité technique d'établissement
9 h - Jeudi
 / /

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